Les ruelles

Etroites mais chaleureuses, on pourrait croire ces ruelles vivantes tant les habitants de Fyianzine aiment s'y promener et faire la fête. Vous croiserez ici toutes sortes de personnes, débordantes d'énergie, qui ne demandent qu'à papoter avec vous, attention toute fois, malgré la milice, il arrive encore que certains déplorent un vol.

[portes]

L'ange vit passer un machin à côté d'elle et éclata de rire. Le nain tirait une tête pas possible, et semblait plus que presser. Le voir courir et aller aussi lentement donnait un effet d'optique étrange: on voyait un effort intense se dessiner sur les traits du visage du petit homme mais en même temps, ça vitesse donnait l'impression qu'il faisait du surplace.
Elle le vit entrer dans l'auberge, et rit de plus belle.

Puis, elle regarda tout autour, essayant de se rappeller où était la forge. Ses souvenirs refaisant surface, elle n'eut pas de mal à retrouver son chemin, voyant quelques minutes plus tard l'ensigne de la forge apparaître.

[forge]

[forge]

L'homme que BM croisa en sortant de la forge semblait étrange. Son apparence était celle d'un vaurien, mais dans ses yeux brillaient autre chose que de la fatigue, comme une sorte de fierté.
Elle vit que son regard interrogateur s'était posée sur sa cape, et comprit aussitôt pourquoi. Elle rajusta habillement sa cape, enfin sûre qu'aucune de ses plumes ne dépasseraient.
Puis partit à travers les ruelles, en direction de l'auberge.

[auberge]

Yliana voletait gaiement par-dessus les toits, contemplant de ses yeux mi-clos par la fatigue les toits de la cité au nom compliqué ... Avisant une sorte de clocher, à la cime d' un temple, elle s' y percha, offrant à ses ailes éreintées la joie d' un moment d' inactivité. De là, la petite fée pouvait contempler le Soleil se couchant derrière un bois, loin à l' horizon, éclairant encore d' une douce lumière orangée les ruelles de la ville.
Yliana riait. C' est étrange n' est-ce pas ? Pourtant c' était indéniable, elle riait. Son rire était plutôt sonore, et un hypothétique passant l' aurait entendu, comme le doux murmure d' une cascade. La fée était, en quelques sortes, heureuse. Certes, elle avait de nombreuses raisons de l' être. Enfin, si l' on compte bien ... une, particulièrement. Celle-ci était bien simple, et chacun l' aura deviné : Après avoir parcouru des dizaines, peut-être même des centaines de kilomètres, elle était enfin parvenue à son but, après avoir bravé de nombreux dangers, après avoir souffert de mille et un maux, elle était arrivée ... et il est normal qu' elle en soit satisfaite ! Et même ravie !
Progressivement, le rire d' Yliana s' éteint, laissant place à une légère mélodie. Le chant de la fée était doux et emprunt d' une grande sérénité. Yliana maîtrisait depuis toujours les harmonies et son chant n' en était que plus mélodieux, plus envoûtant ... Sa musique était un charme, auquel il était difficile de résister ...
Bientôt, elle fut lasse, et agita doucement ses ailes, avant de prendre son envol. Elle se mit en quête d' un lieu pour passer la nuit, provisoirement bien sûr, car elle ne comptait pas dormir toujours au même endroit ... c' eût été d' un ennui ...
De son perchoir, elle avait remarqué un parc, et ce fut cette direction qu' elle prit. Bien entendu, elle n' avait pas idée de s' assoupir dans une auberge, c' était bien trop classique ... et cela ne lui plaisait pas. Elle trouvait bien plus agréable de se reposer dans un arbre, de couvrir son corps de feuiles, et, le matin, de se réveiller dans l' ombre du feuillage ... En voyant la porte du jardin, elle s' en éloigna vivement, et passa par-dessus le grand mur, quelques mètres plus loin.

J'avançais à présent dans les ruelles qui pour un lutin n'étaient vraiment pas hospitalière, le sol était répugnant, il était glissant à cause des dernières pluies, mais ce qui était par terre n'était pas de l'eau de pluie mais plutôt une vase immonde et répugnante j'avais une forte impression de marcher dans un yaourt périmé, et en plus de l'aspect hideux de la chose et il y avait l'odeur répugnante qui me donnait envie de vomir.
J'accélérais au plus vite mes petites jambes pour rejoindre le plus rapidement possible un lieu saint.

Un Lutin.
Il court.

Detourner les yeux.

Encore des hommes...
Partout...
Des nains...

Les fuire, encore...

Trouver.... ....le calme....

le... la... nature....

Les ruelles qui menaient au parc étaient différentes de la grande ruelle principale, celles ci étaient plus fleuries plus joyeuse et surtout on pouvait y respirer un air ou l'odeur nauséabonde de la ville était dissimulé sous les différents parfums de fleurs.

Je me dirigeais à présent vers l’échoppe afin de bien me préparer pour mon exploration à venir

A chaque pas que je faisais dans la ruelle principale qui menait à la porte face à moi, je sentais le danger de l'exploration grandir au font de moi, je ne savais même pas ou j'allais et même si j'allais quelque par. La porte grandissait à chacun de mes pas elle me semblait plus grande que la première foie.

[auberge]

Commencer ses recherches... Avant que des anciens, ou n'importe qui réalise qui elle était, avant de se retrouver confronter à son passé, et au rancoeur.

Black Melancholia avait la tête baissée, sans regarder ce qu'il y avait autour. Elle était lasse... Mais, ses recherches avancées. Elle pourra enfin savoir où se cachaient les démons survivants.

(Je pourrais retrouver les restes de celui que j'aime et le faire revenir parmis nous.)

Une légère brise fit voleter quelques méches devant ses yeux, qu'elle replaça derrière l'oreille. L'ange noir réajusta sa capuche, pour ne pas être gênée à nouveau et se dirigea vers le cimetière. Là où elle pensait découvrir des indices....

La femme accéléra le pas. Espérant pouvoir en finir avec cette ville le plus tôt possible.

Je me promenais la nuit dans la rue et soudain un vent glacé c’était levé sur la ville. Je commençais à avoir froid et cela me fatiguait, il me fallait quelque chose pour me requinquer… Puis, il me vint une idée à la tête. Et si j’allais boire une bibine. Alors je levais la tête à la recherche d’une pancarte d’une taverne, jusqu’à en trouver une non loin de là où j’étais.

Je sortis dans la rue il ne faisait plus froid le soleil était haut dans le ciel qui était bleu. Je marchais dans sans savoir où j’allais. Je pensais à ce que je pouvais faire et à ce que je devais faire. Il me fallait tout d’abord de bon équipement, mais pour cela il me faut de l’argent et avec ce que j’ai ça allait être dur. Mais ou trouver un travail dans cette ville qui était nouvelle. Peut être que si je demandais à une personne elle me dirait où aller. J’interpellais la première personne que je vis, un homme jeune et assez grand mais pas plus grand que moi.
"Euh s’il vous plait je cherche un endroit on l’on pourrait m’employer pour travailler ?"
L’homme me regarda, m’examina et pour conclusion.
"Oh tu n’es pas d’ici toi ! Tu aimes voyager ?? "
Je ne comprenais pas le rapport avec ma question. J'étais embarrassé que faire??
"Euh oui enfin oui…Mais quel est le rapport avec ma question."
"Le rapport est que moi aussi je suis nouveau dans la ville j’habite dans une ville voisine non loin d’ici. Mon travail et de transporter des marchandises d’une ville à une autre. Mais attention ce n’est pas un métier facile dernièrement j’ai perdu mon coéquipier et j’aurais besoin d’une personne, je pense que tu pourrais faire l’affaire. Est-ce que ça t’intéresse ? "
C’était une bonne idée comme métier, il me permettait de voyager de ville en ville et comme ça je pourrais voir de nouveaux horizons et approfondir mes connaissances d’alchimiste. Mais d’un autre coté, il y a le danger…Si je dis oui ce serait ma première aventure. Ah quel bonheur l’aventure, marcher sur des chemins hostiles ne pas avoir peur du danger. Une telle occasion ne se rate pas.
"Oui cela m’intéresse, où dois-je aller pour m’inscrire ??"
"Parfais, il n’y a pas besoin de s’inscrire, dis-moi juste ton prénom et suis-moi à la porte de la ville mes employés m’attendent dehors avec la cargaison. Surtout dépêche toi nous sommes en retard."
"Mes parents mon nommait Duncan."
Il acquiesça de la tête et on commença à courir vers la porte.
J’étais tout excité, ma première aventure, je n’en revenais pas.

[portes]

Les yeux perçants du Puissant Mage suivirent du regard la créature aux hideuses oreilles partir avec un type louche.
(sans aucun doute des mafieux endurcis, mieux vaut s'en méfier. Ah, une forge...zouu, rentrons.)

[forge]

Je m'étais engager dans la ruelle pour me rendre à l'auberge et de loin, entre-aperçus, un nain qui se dirigeait d'un pas assez rapide vers l'auberge.. ( à ces nains alors !Je ne dis pas sa méchement! au contraire !Avec Mjolln, mon ancien compagnon de voyage, on avait bien rigolé ..Je regrette ce temps la) Bon! Je n'est pas trop le temps de rêvasser ! Alors, sur ces mots, je me dirigeais d'un pas sur vers l'auberge.Je réfléchirais plus tard à mon avenir.