L'auberge Bonjoie

L'auberge Bonjoie est connu dans tout le vieux royaume grâce à son accueil, à sa nourriture abondante et succulente, ainsi que pour ses chambres douillettes.
L'aubergiste et sa femme sont les personnes les plus aimables que vous puissiez rencontrer, toujours souriants et polis, ils ne vous refuseront jamais une petite pinte.

Nouveau joueur Nombre de messages : 7 Age : 37 Date d'inscription : 05/06/2005

Ravenloft entra dans l'auberge, se posta devant le comptoir, leva la tête, et demanda àl'aubergiste derrière:

" Bonjour à vous aubergiste je voudrais une pinte "

l'aubergiste se retourna mais ne vit personne et retourna à ses occupations. Il y avait du monde dans l'auberge mais Ravenloft remarqua un peu plus loin un siège il s'en approcha, se hissa jusqu'en haut et prit place, cette fois-ci, à hauteur du comptoir il réessaya.

" Serai-t-il possible que l'on me serve à boire "

Cette fois si l'aubergiste le remarqua et lui amena à boire.

" merci " Fit-'il dans sa barbe.

Aprés avoir passé sa soif, c'est à dire quelques heures plus tard, ayant but une trentaine de pintes il retourna dans la rue chantonnant enfin de se soulager.

[ruelles]

Arrivé devant l'auberge, Ragnarok la contempla, puis il poussa la porte, et se dirigea vers le comptoir...

*Euh....*

Se rendant compte qu'il y avait une légère différence entre sa taille et celle du comptoir, il réfléchit un instant, puis eut l'idée de se défaire de son sac...
Il le mit au sol, et, sachant qu'il n'y avait pas grand chose d'important à l'interieur, il s'aida de ce dernier pour grimper sur un des tabourets...

Tout content de lui, il ne chantonnait plus, mais interpella l'aubergiste d'une voix forte....

"Aubergiste ! Bien le bonjour ! Donnez-moi donc une chope de bière.... Mais la plus grande que vous ayez, hein ! Il faut que j'étanche ma soif..."

Ces paroles prononcées, il attendit que l'aubergiste s'execute...
Pour patienter les quelques secondes qu'il avait à attendre, il regarda un peu autour de lui....
L'ambiance était chaleureuse, il y avait quand même un bon petit nombre de clients, et il remarqua quelques uns de ses confrères...
Il reporta son attention devant lui... L'aubergiste lui avait servi sa chope... Ragnarok lui fit alors un grand sourire, et but d'un trait plus de la moitié de ce qu'elle contenait....

*Rien de mieux pour se remettre en forme...*

Nouveau joueur Nombre de messages : 7 Date d'inscription : 07/06/2005

[Ruelles]

J'entrais dans l'auberge en trébuchant sur mon pied. Les gens se retournèrent à mon arrivée...originale. Ils voulurent rirent mais se retenirent. Pas par politesse, mais tout simplement parce que les deux gérants étaient déjà sur moi à m'aider, et qu'ils tenaient à leurs bières. Je me relevais en remerciant les deux aimables personnes. Ils me proposèrent une cervoise, que je ne refusai pas. Je m'assis à côté d'un nain qu'il me semblait avoir déjà vu dans la rue, un de ceux qui me regardaient de travers. Il n'avait pas changé ses habitudes et me regardait toujours avec un oeil tordu. Ma bière arriva et après l'avoir bu d'un traît, ce qui sembla rassurer le nain, je lui dit:

"Bien le bonjour, messire nain, permettez moi de m'asseoir à votre côté pour vous parlez d'une affaire d'une importance capitale. Je vois que vous êtes un aventurier, et, que, tout comme moi, vous êtes à la recherche de combat et...d'aventure. Je vous propose alors de me rejoindre dans une quête que l'on m'a confié. Je vous expliquerais qu'elle est-elle après que vous m'ayez dit une réponse." J'attendais patiement sa réponse en commandant une nouvelle bière fraiche.

Dixième chope....
Lourd, oui, mais sûrement pas pour un Nain !
Non, Ragnarok était toujours campé en haut de son tabouret, joyeux, et discutait avec l'aubergiste et les deux-trois clients qui l'entourait....
C'est alors qu'entra un homme.... A l'allure étrange.... Si ce dernier n'avait pas trébuché en entrant, Ragnarok ne l'aurait sûrement jamais vu... Mais alors que l'homme se relevait, aidé par les gérants, il s'aperçut qu'il l'avait déjà rencontré dans les ruelles....
Perdant son sourire habituel, il regardait avancer l'étrange personnage vers le comptoir... Puis détourna la tête quand il s'assit à côté de lui... Lui jetant quelques coups d'oeil parfois, Ragnarok but sa chope de cervoise silencieusement...

*Drôle d'oiseau....*

C'est alors que ce dernier entré lui parla, une fois sa cervoise avalée d'un trait.... Ce qui avait grandement étonné Ragnarok, qui ne connaissait que son peuple pour être aussi bon buveur.... Son regard changea, et devint bienveillant....
L'homme lui conta son affaire, une quête qu'il devait réaliser.... Il avait besoin d'aide....
Ragnarok réfléchit un moment, puis dit :

"J'accepte, mais.... Avec tout le respect que je vous dois, il me faut finir cette cervoise avant mon départ, sinon, le voyage ne sera pas possible..."

Il avait souri en parlant, mais comptait bien finir cette cervoise qu'il venait juste de commencer, toujours dans cette aussi grande chope...

Langue pendue Nombre de messages : 80 Age : 38 Date d'inscription : 05/06/2005

[ruelles]

Black Melancholia poussa la porte d'entrée. L'auberge portait bien son nom, elle était pleine de monde de toutes races, tous ayant l'air de s'entendre à merveille.

(Une bonne entente... L'alcool doit aider à cette harmonie je suppose.)

A nouveau, elle fit bien attention à ne pas faire dépasser ses ailes, car ici, elle était connue.. Elle doit être une des seule, voir l'unique, ange aux ailes noires exisante.

Elle alla s'assoir à une table éloigner des autres afin de repérer, ceux qu'elle connaissait déjà, ainsi que les nouveaux aventuriers.
Elle reconnu l'homme étrange de tout à l'heure, en train de discuter avec un nain.

(Quel couple bizarre ils font ces deux là...)

Elle commanda un chope de cervoise au serveur qui était venu prendre sa commande. Puis, elle l'a bu tout doucement, pensant qu'il faudrait qu'elle demande une chambre pour la nuit.

Nouveau joueur Nombre de messages : 3 Date d'inscription : 27/06/2005

Melisse observa les clients un moment par la fenêtre
"hum, rien qui brille....zont l'air plutot sympathiques.Enfin bon, faut pas trops se faire remarquer non plus...."

Melisse pousse (difficilement)les portes de l'auberge et entre

msieurs,dames bonjour

""olala, comment ils font pour vivre içi???il me faudrait un bon arbre pour dormir"

Melisse saute habilement sur un tabouret

tavernier, pourrais je avoir un lait de chévre siouplait???

Remarquant un sourrire se dessiner sur les lévres du nain à sa gauche, Melisse prend son air de petite fille egarée

"scusez moi, msieur, mais sauriez où je peux trouver une forêt ,environ pas loin???"

Langue pendue Nombre de messages : 80 Age : 38 Date d'inscription : 05/06/2005

La jeune femme se décida enfin à aller demander une chambre pour se reposer. Après avoir fini sa choppe, elle la reposa sur la table, et laissa un peu de monnaie sur la table, afin de payer le verre mais aussi de laisser un petit supplément aux patrons, qui devaient en avoir besoin par les temps qui courent.

L'ange se faufila entre les tables et s'accouda à côté du nain, et de l'homme étrange.
Discrètement, elle essaya de savoir de quoi ils parlaient, car il était question de quête et d'aventure, mais, probablement pas le même genre qu'elle.

"Bonjour, pourrais-je avoir une chambre s'il vous plait... Oui. Pour une nuit, voir plus. Merci."

Elle remercia la femme derrière le comptoire avec un grand sourire lorsqu'elle lui donna les clés en échange de l'argent, puis s'en retourna vers le couloir qui menait aux chambres.

Elle aurait préféré que ces dernières soient à l'étage, mais celà n'était pas le cas.
La femme s'avança dans le noir, regardant de tout les côtés jusqu'à voir le bon numéro, puis enfin, elle fit pénétrer la clé dans la serrure et la tourna. Elle entendit un léger déclic et poussa la porte.
La chambre n'était pas bien grande, mais elle était coquette. Des draps frais étaient posés sur le lit, lit qui fut fais quelques minutes plus tard par une servante.
L'ange posa son bouclier au sol, et sûre de ne pas être dérangée, elle enleva sa cape.
Ses ailes se déployèrent aussitôt, enfin libres.

Black Melancholia les bougèrent un peu, voir qu'elles ne se soient pas tordues au cours du voyage, puis elle se changea et alla se coucher.

Langue pendue Nombre de messages : 80 Age : 38 Date d'inscription : 05/06/2005

La nuit fut longue mais réparatrice. Black Melancholia se redressa tout doucement et s'étira langoureusement.
A nouveaux des rêves étranges l'avaient hanté toutes la nuit. Toujours ces visages... Et celui de l'homme qu'elle aimait.

(Quand cela va-t-il cesser??)

Des larmes lui piquèrent les yeux, larmes qu'elle refoula aussitôt. Ce n'était ni l'heure, ni l'endroit pour se laisser aller. Elle sortit ses jambes des draps, mais resta assies, le spieds ballants.

(Bon... Petite... Décide toi... Aujourd'hui commencent tes recherches, il faut qu'elles débutent sur de bonnes bases, c'est primordiale!)

Les draps finirent de glisser sur son corps nu lorsqu'elle se leva pour de bon. Après avoir se secoué un peu ses ailes pour les défroisser, elle se dirigea vers la petite pièce salle de bain. L'eau avait été changé, mais était désormais tiède. La femme qui s'occupait de l'auberge devait passer tôt...
L'ange se nettoya rapidemment puis retourna d'un pas traînant vers la chambre, où était disposé ses habits. Dans un placard était rangé des sous-vêtements propre, elle n'hésita donc pas à s'en servir, et à mettre les autres dans son sac.
La cape était pendue. Black Mel la prit et la lassa autour de son cou, comme elle faisait habituellement, faisant toujour sattention de na pas dévoiller ses ailes. Il est trop dangereux pour elle que l'on découvre son identité, encore plus maintenant. Il y avait beaucoup trop de choses qui se traimant dans l'ombre des trois continents.

Black Melancholia sortit de la chambre et se dirigea dans la pièce principale, salle de la taverne. Après avoir rendu les clés, elle sortit, s'en faire attention aux autres. De toute manière, elle avait déjà en tête l'idée de sa prochaine destination.

[rue]

[ruelles]

Lorsqu'elle poussa la porte de l'auberge elle ne put retenir un frisson et se maudit d'être aussi peureuse. Après tout il ne s'agissait que d'une auberge ... très fréquenté. Peut-être un peu trops même.

N'osant pas allez voir l'aubergiste au comptoire elle s'isola au coin d'une table dans la pénombre.

Les gérants mirent quelques minutes avant de la remarquez et de venir lui demander ce qu'elle désirait.

" Euh ... es-ce que je pourrais ... avoir une chambre pour la nuit ?
- Bien entendu, attendait je vais vous cherchez ça ! "

Tsuki no Tenshi cligna des yeux bêtement ce demandant s'il avait l'intention de lui ramener la chambre ici avant de se mettre une claque mentale en le voyant revenir avec des clés à la main.

" Voilà, c'est la troisième chambre à gauche en montant à l'étage. Désirez-vous autre chose ? "

Elle avait un petit peu faim, c'est vrai, mais elle préféra monter immédiatement. Elle lui répondit donc que non, a grand renfort des quelques règles de politesses qu'on lui avait appris juste avant son départ.

Lorsqu'elle gravit l'escalier grincant, elle se permit un dernier regard pour les autres clients ... dieu que les gens avaient le don de l'effrayer ! Il fallait à tout prix qu'elle parvienne à être sûre d'elle avant la fin de son apprentissage !

Sa chambre était petite mais bien assez suffisante pour une personne, elle se désabilla après avoir fermer les rideaux qui ornait la fenêtre.

Tout en observant son corps et en notant mentalement le nombre de cicatrice qu'elle possèdait elle finit de défaire ses bagages.

Puis érreinté par son long voyage elle finit par s'endormir dans le nid de chaleur qu'offrait la couette épaisse.

Elle se réveilla dès le lever du soleil. Son corps même savait qu'elle ne devait pas perdre plus de temps dans cette ville, qu'elle ne pouvait pas perdre plus de temps à ne rien apprendre.

Elle se leva enfin, ne prennant pas le temps d'admirer la venue du soleil pourtant magnifique, elle avait toujours préféré la lune.

Elle nettoya son corps tout en observant une carte du royaume. Cyaltynn. Voilà, là où elle devait allé. Il y avait tout de même une demi-journée de marche. C'est pourquoi elle prit le temps de descendre manger à l'auberge avant de re-partir.

Les gérants l'acceuilirent tout sourrire, encore bien craintive elle eut du mal à rester à table s'en s'enfuir à chaque nouveau client entrant ou sortant de l'auberge.

Finallement, elle paya pour la nuit et son repas et sorti de l'auberge...

[ruelles]

J’ouvris la porte de la taverne et la refermai vite derrière moi, mais une petite bourrasque de vent put se faufiler avant que je referme la porte, elle fit voler mon manteau, et j’entendis des gens se plaindre. Le vent glacial qui venait de s’abattre sur la ville. Au plus grand bonheur du tavernier, on pouvait voir que les villageois c’était réfugié ici dans ce lieu conviviale, sûrement que eux aussi ils avaient été surpris par le froid. C’est sur vu qu’on est en hiver ils n’ont pas encore du couper du bois.

Je m’installai sur une table vide que j’eux du mal à trouver, et m’assis sur une chaise en bois avec des accoudoirs. Je claquai des doigts une serveuse pour commander une bonne petite bibine car il n’y avait rien de mieux pour se réchauffer. Mais je n’eux aucune réponse de la serveuse et donc je retentai le fameux appel de l’alcool mais toujours rien, alors comme vexé, je me levai et arrachai les accoudoirs de la chaise, tout le monde m’observait, ils devaient se demander ce que j’avais à agir ainsi. Je me rassis sur la chaise et fixai de mon regard le plus noir possible le patron et ses employés, après quelques minutes les clients me lâchèrent du regard. Pour m’installer confortablement je lâchai mes pieds sur la table et il y eût le son du choque qui résonna dans la pièce. Et à nouveau les gens me fixèrent mais cette foi ils ne me lâchèrent pas des yeux comme pour me montrer que j’étais une gêne pour pouvoir se détendre.

Je pris mon sac et le posai sur mes jambes. J’en sortis un objet enrobé d’un bout de tissu et reposa mon sac sur le sol. Alors j’entendis des murmures, des gens se questionnaient sur ce qu’il y avait sous le tissu, puis, par crainte certain des hommes posaient leur main sur leur arme. J’examinai mon objet comme si de rien n’était, après une longue hésitation je retirai le tissu pour laisser apparaître un vieux luth en très bonne état qui avait été créé avec du bois de la foret d’ou j’étais né et fabriqué par un elfe d’une des forets voisines. Je la plaçai doucement entre mes bras comme si c’était une relique et commençai à gratter quelques accords comme pour me réhabituer à l’instrument. La tension retomba dans la salle, le patron comprit pourquoi j’avais arraché les bras de la chaise c’était pour que les miens soit libres de se déplacer sur le manche de mon instrument. Enfin après une longue attente de la par de mon auditoire je commençai à jouer sérieusement et à chanter avec ma voix qui était grave et caverneuse à cause du froid qui avait refroidit mes cordes vocales.

« Je ne sais pas pour vous mais pour ce qui est de moi faudrait que je boive un coup ça fera bien la faire. A force de chanter de hurler et de braire j'ai besoin de picoler, mais qu'on ne me serve pas de jus de fruit ou de la flotte surtout pas café je tiens trop pas ma glotte.

Patron y a marré basse, j'aimerais voir la p'tite sœur. J'ai le gosier qui se lasse.
Patron y a marré basse, j'aimerais voir la p'tite sœur. J'ai le gosier qui se lasse.
Patron y a marré basse, j'aimerais voir la p'tite sœur. J'ai le gosier qui se lasse.

j'ai besoin de fortifiant, y en a bien qui fume
l'hiver ça me réchauffe et tant pis pour le foie
on crèvera tous dans la joie

Puis, je marquai une pose regardai ma table sur laquelle je pus voir mon verre de vin chaud, le public était tout excité et je repris le refrain avec les clients pour finir la chanson.

Patron y a marré basse, j'aimerais voir la p'tite sœur. J'ai le gosier qui se lasse.
Patron y a marré basse, j'aimerais voir la p'tite sœur. J'ai le gosier qui se lasse.
Patron y a marré basse, j'aimerais voir la p'tite sœur. J'ai le gosier qui se lasse.

Merde, on n'est pas des gobelins »

Des applaudissements surgirent de toute la salle, il voulait que je rechante mais je ne pouvais pas car à force de beugler, je m’étais complètement détruit la voix. Je les remerciai pour cesser leur applaudissement. Une foi que ceci fût finis, je pris mon verre et le vida jusqu’à la fin.

Les bons moments ont tous une fin, il fallait que je parte. Je me levai de ma chaise et me dirigeai vers la sortie. Je passai entre les tables qui était maintenant vide. Je pus voir par la fenêtre que le vent s’était apaisé. Je mis la main sur la clenche la fis tourner et me pris ma porte dans le ventre. Un homme était arrivé de l’autre coté. Puis, les mains sur le ventre je sortis dehors.

[Ruelle]
Quand j'ouvris la porte de l'auberge, une odeur de poulet flottais dans l'air. Je m'assis au comptoir et demanda rappidement un verre de cidre à l'aubergiste. Derrière moi, les tables étaient animées et certaines personnes était complètement ivres !!

(Je crois que je vais rester quelques jours ici...)

"Dis moi, aubergiste! As-tu une chambre ?"
"Oui,Oui !!Tu en veux une ?Pour cette nuit ?"
"Non. Je vais rester quelques jours."
"D'accors, d'accors !"

(Les gens ici sont bien gentils....mais je ne dois pas trop me fier à eux...)

poule mouillée Nombre de messages : 24 Date d'inscription : 01/08/2005

La fatigue commense a monté a la tête d'Alucard qui commense a avoir des nausés mais il apperçoit enfin l'ecritau qui signifie la fin de cette longue marche ...

A peine il pousse la porte et tout de suite les bruit de chope de bierre qui s'entre-choque et le bourdonnement formé par les discution lui monte a la tete ...

Il marche assez maladroitement vers une chaise au comptoir et demande au barman un verre d'eau. Etant alchimiste Alucard c'est concocté plusieurs petites choses qui aurai pu lui etre utile pendant son voyage dont quelque chose contre le mal de tete !

Il verse un peu de poudre blanche dans son verre et le remu un peu. L'eau prend tout de suite une teinte un peu bleuté et il l'avale cul sec.

Sentant les muscles de ses jambes se detendre petit a petit, il soupire de soulagement et passe la main sur son visage puis dans ses cheveux pour remettre sa longue chevelure de jais sur son dos...

Après s'etre un peu plus détendu, alucard remarque la presence d'une jeune femme a la peau sombre non loin de lui. Il avait deja entendu parlé de cette race, les drows, mais il n'en a jamais rencontré. Biensur son instinct de chercheur veut qu'il lui pose des tonnes de question mais cela ne se fait pas ... donc il se retient et se contente de l'etudié du regard ...

Tout en inspectant la salle du regard, je remarquai que apparement, le nain étais parti depuis longtemps.

(Peut-être que je le reverrais...Ou peut-être pas..)

Je laissa échapper un long soupir et me retourna vers l'aubergiste.
"Avez-vous du saké ?"
" A ça ma tit' dame je sais pas !C'est quoi donc comme boisson ?"
"Elle vient du d'une contrée lointaine...C'est une sorte d'alcool. J'en ai pris pendant mon séjour là-bas..."
"je sais pas! je sais pas! Nous on voyage pas souvent vous savez !!"

(Et moi qui viens de si loin...)

Puis, je me remis à regarder un peu partout autour de moi et vis qu'un homme me regardait...Je me demandai bien pourquoi...Peut-être me prenait-il pour une bête affreuse ...Gênée, je parti m'asseoir sur une table non loin de là. Je me demandai bien se qu'il me voulait...

"Aubergiste ! finalement je vais juste prendre une biere !"
"Comme vous voulez ma tit' dame !"

poule mouillée Nombre de messages : 24 Date d'inscription : 01/08/2005

Alucard sourit lorsque la femme drow essai d'évité son regard en se déplaceant. Très bien ! c'est vrai qu'il n'y avait pas ete avec beaucoup de tact ... surement la surprise de voir une tel personne en ces lieux !

*Tempis je tenterai une autre approche plus tard ...*

Il se tourne vers le barman.

"Il y en a beaucoup ici des drow ?"

"Hoo vous savez c'est un endroit de passage ici ... alors oui il y en a assez frequement meme si ce n'est pas en grand nombre ..."

"Très bien ..."

Il ne peu s'empeché de tourné encore plusieur fois les yeux vers la jeune femme qui dois se demandé si je ne suis pas un manique sexuelle ou se genre de chose ...

"Au fait vous voulez quelque chose a boire ?"

"Oui du sa ... non en faite je n'ai pas soif ..."

Le barman regarde Alucard avec un drole pendant que lui espert ne pas avoir dévoilé son vampirisme ...

J'étais fatiguée...Après avoir payé ma biere, je me rendi vers l'escalier qui menait aux chambres.

(Mon dieu !Je n'aurais pas du boire autant !)

Je titubai vers la porte de ma chambre quand tout devint flou, noir et d'un coup...Le néant total.
"Imala, Imala ! Réveilles toi !!"
"Maître ?"
"Oui c'est moi...Imala il faut que tu continues à chercher ! Tu dois trouver cet objet !J'en ai besoin !"
"Mais Maître ! Vous ne m'avez toujours pas dis ce que vous vouliez !Et puis, où sommes-nous ?"
"Dans le monde de Djar."
"Ah..."
"Imala, tu devras rencontrer des gens pour qu'ils t'aident ! Je sais que tu n'a pas l'habitude mais essais."
"J'essayerais Maître. Mais je ne fais pas confiance à ces humains...Et c'est sûrement réciproque...."
"Bientôt tu y arriveras. J'en suis sur. J'y vais. Je ne peux pas rester longtemps dans le monde de Djar. Ils nous regardent."
"Le Conseil Maître ?"
"Oui. Depuis que tu t'es enfuie. A bientôt Imala..."
"Maître ?Maître!"

(Je dois me préparer...Je ne vais pas m'attarder ici...)

Je ne pouvais toujours pas bouger. J'étais conciente mais je n'avais pas l'habitude de la bière.
(J'attendrais que les effets se dissipent et j'irais dormir... Je partirai demain.)

poule mouillée Nombre de messages : 24 Date d'inscription : 01/08/2005

Alucard a pris un bière, même si pour lui il n'y a que le sang qui ai du gout mais il ne veut pas eveillé les soupsons ... Soudain la drow se lève et se dirige d'un pas mal assuré vers les chambres a l'étage. Alucard sourit en pensant que lui ne pourai jamais etre dans cet état la ... avec de l'alcool !

Il plonge son regard dans sa boisson qui a pour lui autant de gout que de l'eau et entend un "boum" a l'étage. Personne ne semble y preté attention mais le barman éclair sa lenterne.

"T'en fait pas ... sa arrive souvent lorsque les personnes ivres montent a l'étage ... elles tombes !"

"Hum ... un verre d'eau s'il vous plait ..."

Une fois le verre d'eau servi, Alucard monte les marches avec et sort d'une de ses petites sacoches a la ceinture, une herbe qu'il trempe 30 secondes dans l'eau.

Une fois en haut des marches, il voit la drow affalé par terre, anéstésié par l'alcool. Il s'approche doucement et s'accroupi a coté d'elle en lui tendant le verre d'eau un peu trouble a cause de l'herbe.

"Buvez sa vous fera du bien. Et ne vous en faite pas ... je suis alchimiste il n'y a rien de dangereux dans votre verre. Elle diminue les effet de l'alcool sur l'organisme c'est tout ..."

Il attend patiement de voir si sa décoction remet d'aplomb la jeune femme.

J'avais chaud...Je voyais des flammes..
Je vis un château non loin de là. Je voulais marcher mais, mes jambes ne voulaient pas bouger. Puis je vis une plume descendre doucement du ciel. Elle était blanche et avait trois rayures noires sur le côté droit. Je sus rien quant la voyant qu'il s'agissait de "l'objet" désiré par mon maître.
Je ne rêvais pas. J'étais réveillée mais c'était comme une illusion.
Mon Maître m'avait prévenu.
J'aperçus juste à côté de moi, un homme, debout. L'homme de l'auberge.
Je fis un pas en arrière et tomba dans un précipice.
L'image de mon Maître fut la dernière chose que je vis de cette illusion.

"Maître !!!!!"

D'un bond je fus debout, puis, en pris concience que j'étais revenue dans mon état normal. L'homme était là, à côté de moi.

"Euh...Je suis désolée de vous avoir dérangé ! ça n'arrivera plus!"

Après quelques instants de réfléxions, je vis qu'il ne ressemblait pas aux autres hommes que j'avais croisé jusque là.

"Vous ne venez pas d'ici ...Pourquoi m'avez-vous aidé ?"

poule mouillée Nombre de messages : 24 Date d'inscription : 01/08/2005

La drow reprend enfin ses esprits et elle se lève meme d'un bond, encore sous le choc d'une vision terrible d'après son visage encore un peu crispé ... dus a l'alcool surement.

Alucard se releve doucement, regardant la jeune femme dans les yeux, mais avec un leger sourire au levre.

"Ne vous inquieté pas, vous ne m'avez pas derangé le moin du monde."

Après quelques secondes de silence a s'observé, la femme s'apperçoit qu'il n'est pas comme les autres ... Le sourire d'Alucard s'éfface doucement et il se pince les lèvres en baissant légerement les yeux.

"Non en effet je ne suis pas d'ici ... Je ne suis meme pas humain si vous voulez le savoir ..."

Alucard se jette a l'eau, il joue la carte de la franchise en esperant ne pas s'attiré les foudres de la drow. Il affiche un sourire franc, dévoilant ainsi ses longues canines: peut etre que la drow n'a jamais rencontré de vampire ...

En voyant cela, je fis quelques pas en arrière...Je n'ai rien contre les vampires, au contraire je m'entends assez bien avec eux mais on ne sait jamais...On va dire qu'ils sont assez particuliers...

"Vous n'aviez aucune raison de m'aider. D'ailleurs, je ne voudrais pas être trop brutale mais je n'ai jamais vu de vos semblables par ici...De toute façon, ne vous inquiétez pas, je ne dirais rien aux gens à votre sujet alors pas la peine d'en faire tout un plat...Un jour, un autre comme vous m'a aidé pendant une période de guerre et maintenant j'ai un grand respect pour vous, les vampires. Alors sachez que ce n'est pas la peine de me voler mon sang. Puisque d'ailleurs je sais très bien me défendre."

A ces mots, je me redressais et regardai droit dans les yeux mon interlocuteur , prête à me défendre en cas d'attaque.

poule mouillée Nombre de messages : 24 Date d'inscription : 01/08/2005

Alucard s'était douté de la reaction de la jeune femme ... une reaction identique chez chaques personnes d'ailleur ...

La drow se fait assez froide avec lui, sa ne l'etonne pas du tout mais lorsqu'elle lui dit qu'il est inutile qu'il la morde, il ouvre d'abord de grand yeux puis explose de rire.

"Vous n'allez pas me dire que je ressemble a quelqu'un de dangereux ... Enfin bon ... je vois que ma presence vous gene alors je vais disposé ! Et puis au fait ... non je n'étais pas obligé de vous aidé mais c'est que je n'ai jamais rencontré d'elfes noir alors je voulai juste fair un peu connaissance histoire d'en apprendre un peu plus sur votre race mais bon ... sa sera pour une autre fois et avec une autre personne"

Sur ceux, Alucard se retourne et commense a descendre les marches en lachant un petit "bonne nuit". Alucard etait a vrai dire assez véxé d'avoir été prit pour un simple buveur de sang venant cherché sa proie ... C'est pour sa qu'il est devenu alchimiste ... pour asseyé de trouve un remède a cette soif de sang ...

"... ...Oups... ...Bah, de toute façon s'il a quelque chose a dire il me le demandera bien un jour ou l'autre !"

Sur ce, je parti dans ma chambre. La pièce étais assez sombre et les volets entre-ouverts. Je m'assis sur le bord du lit et attendis...Je ne sais pas trop quoi... Apparement, la nuit était tombée sur le village et le bruit dans la taverne se faisait plus fort.

(Beaucoup de gens viennent boire le soir on dirait...)

J'ouvris la fenêtre, puis les volets et laissa pénétrer les rayons de lune.
Je m'assis au bord de la fenêtre et regardai les gens passer.

"Je prendrais un bain demain matin...Je partirais ensuite....Maître avait tort. Personne ne voudrait me faire confiance. Je chercherais la plume toute seule et peut-être que quelqu'un d'assez fou voudra bien m'aider"

En disant cela, j'eus un petit rire...Je me demande bien qui serais assez fou pour vouloir me suivre !!! Mais ça serait une belle aventure! Et je repris de plus belle mon fou rire en pensant que seul un nain comme Mjolln pouvait me supporter ! Moi et mon sale caractère. Enfin...
Je me remis à regarder la Lune...Peut-être me sera-t-elle d'un grand conseil.

J'entrai dans la taverne, et m'arretai sur le seuil. Elle était banale, comme toutes celles que j'avais pu croiser : des jeunes gens rentrant du travail qui avaient invités leur petite amie a partager leur repas, des étrangers, des soldats et bien sur, des ivrognes... Seuls les Dieux savent si je n'ai pas été parmis eux, a bien des reprises !!

Arrivé pres du comptoir, je demandai une bonne pinte de biere, et me caressai le bouc pensivement. J'allai écouter les conversations, et voir si je ne trouvais pas par ici une bonne ame qui aurait besoin d'un homme pour un travail.... Je saisis ma biere lorsqu'elle se presenta et commençai a la siroter apres m'etre installé a une table.