Portail

Le portail remplace en fait les traditionnelles portes de citées. Fait d'un fer forgé, il garde tout de même une forme simple, droite et froide, exprimant grâce à celà, l'attitude et l'état d'esprit qu'il règnera ici.

J’étais enfin arrivé, mais je ne savais pas quoi faire. Je ne connaissais pas la personnes que je devais rencontrer, je ne savais pas comment j’allais la reconnaître, et en plus j’étais fatigué j’arrivais à peine à tenir debout.
La porte de la ville était submergée par le passage des personnes. Un bruit ignoble à entendre avait pris possession de ce lieu. Je ne me sentais pas à l’aise, je commençais à devenir fou, j’étais perdu, c’était la fin, j’allais mourir si prés du bute dans ma folie et ma douleur. Mais à ce moment là, qu’un homme m’interpella.

He toi là !! Tu es un des transporteur ??

Je fus tout d’abord surpris puis ensuite heureux, heureux de se sentir enfin sauf.

Je…Je…suis le…convoi.

L’homme regarda dans la charrette fut surpris puis claqua des doigts avec une habitude qui se faisait sentir, deux autres personnes firent leur apparition et prirent Freir qui était souffrant. Enfin il se retourna de nouveau vers moi, avec un large sourire sur son visage.

C’est du bon boulot, Freir n’a pas grand chose on va s’en charger. C’est la fin de votre voyage pour vous.

Ces mots firent sonner en moi une sorte de cloche qui me déconnecta, mon corps s’écrasa sur le sol, et puis plus rien sauf un claquement de doigt…

[les ruelles]

J’arrivais enfin au porte, il y avait beaucoup de monde et je devais jouer des coudes pour pouvoir traverser la masse de gens qui étaient agglutinées devant la porte. Les personnes que je bousculais, grommelaient, m’injuriaient dans leur moustache.
Une foi la porte passé je me dirigeai vers les champs.
Je m’approchai de plus en plus de la destinée dont avait parlé le vieillard.

[les champs]

[Champs]

"Misère.. Mais où me suis-je faites embarquée encore?? C'est quoi cette citée? Et ce portail? Mais c'est qu'il est quelque peu moche... Ils n'ont aucun goût de l'esthétisme ces gens!"

La jeune fille s'exprima à voix haute, nullement gêner par la présence des quelques habitants qui rentraient chez eux. De toute façon, tous étaient scientifiques, chercheurs, professeurs ou élèves, et ils marchaient sans vraiment sans rendre compte, perdu dans de sombres observations et calculs.

"Avant toute chose... L'auberge, je pourrais probablement y rencontrer notre espion et apprendre au passage les derniers évènements."

[Ruelles pavées]

[ruelles pavées]

Muriel prit la main de Yoru dans la sienne. Elle était douce. Sa chaleur parcourait le corps du vampire et ainsi, il se sentait bien, rassuré. Elle le suivrai donc partout…

Je t’aime tu sais…Vraiment…Je t’aime…

Il se leva avant l’elfe et marcha lentement sur le chemin hors de la ville. Il chantonnait, heureux. Enfin, il allait connaître son passé, accompagné de la femme aimée. Il savait à présent que peu importe ce qu’il y trouverait, elle ne sera pas apeurée, dégoûtée, ou autres sentiments déplaisants…Non…Elle resterait à ses côtés.

Watashi wa kowareru…Kokoro kowashi…Hai ni naru…

La chanson était douce, mais pourtant sombre…Comme le cœur du vampire à ce moment…Il marcha, faisait parfois quelques bonds sur le côté, se laissant porté par le vent. Il se sentait en harmonie avec lui, ils ne faisaient qu’un. Ses cheveux volaient, tels des étoiles filantes dans les cieux éclairés, et lui donner un air fantomatique. N’ayant aucune notion du temps qui passé, il ne se rendit compte qu’il avait bien marché que lorsqu’il aperçu les champs.

[champs]

[ruelles pavées]


Yoru regardait l'homme qu'elle aimait, heureuse de constater que, finalement, il l'avait accepté avec lui. Elle l'écoutait chanter et trouvait sa voix merveilleusement douce, mais grave aussi, ce qui la fit frissoner.
Tout au long du chemin elle se demanda où ils iraient, ce qu'ils devraient faire... Toutes sortes de questions pratiques venaient à son esprit: une habitude de ninja. Lasse, elle se perdit dans la contemplation de l'être aimé, espérant que leur voyage ensemble durera toute leur vie, et celle après la mort.

[champs]

Shaïna arriva enfin aux portes de la ville. Devant elle s'étendait les rues. Elle s'attendait à ce qu'il y ait beaucoup de monde, mais très peu de personnes circulaient.

Puisque c'est la ville du savoir, ils doivent tous être en train d'étudier ou de faire des expériences. Espérons que je trouve tout de même quelqu'un pour me renseigner...

Elle entra alors dans la ville à la recherche de la taverne, l'endroit pour elle le plus susceptible pour recueillir des informations.

[Rues]