Forêt Perdue

La Forêt Perdue est celle qui s'étent sur la plus grande partie du Vieux Royaume, il vous faudra quasiment toujours la traverser pour vous rendre d'un point à l'autre.

Hum..... Logiquement, tu devais faire un rp, pour dire que tu traverses, puis, un gm, moi ou un autre, te dis quand c'est bon ou pas... Donc en fait ((mdr)), logiquement tu ne devrais pas passer d'un lieu à l'autre comme ça. Ce n'est valable que pour les grands voyage comme celui-là.

Trois hommes alignés nous attendaient, celui du milieu était un homme petit est gras il avait une cane en bois incrusté de rubis sur laquelle reposait sa main potelée recouverte de bague énorme. Il portait des habits de riche propriétaire. Les deux hommes autour de lui étaient armure, sûrement des gardes du corps.

Freïr s’arrêta et salua l’homme potelé.
"Bonjour je suis Freïr celui qui doit transporter la marchandise, et je vous présente mon nouvel apprenti Duncan."
Au moment ou il signala mon nom je saluai avec regret l’affreux bonhomme.

La masse en face de nous s’écarta pour laisser apparaître une charrette à main.
"Voilà la caisse qui vous devez emmener à la ville de Cyalrynn. Attention si vous perdiez rien qu’une seule marchandise je vous ferai regretter."

Freïr prit vite la marchandise et s’engouffra dans le bois. Au bout d’un moment il vérifia s’il le gras n’était plus là.
"Rah, je hais ce type, mais ne t’inquiète pas c’est le seul qui soit ainsi l’homme à qui nous allons donner la marchandise est un ami."
Je fus rassuré pas cette phrase.
"Quel ignoble personage."

Dans la forêt les nombres arbres qui sont tous collés les un aux autres formaient avec leurs branches un nuage très dense qui filtraient les rayons du soleil. Parfois une légère brise de vent faisait bouger les arbres et laissait passer quelques brefs rayons du soleil qui nous réchauffaient. J’aimais marcher dans le bois l’environnement était calme et apaisant. Les divers bruits des animaux nous apaisaient et nous rassuraient. Parfois on pouvait voir des écureuils traverser la route à notre passage. Puis, quelque chose me revint à l’esprit Freïr ce n'est pas un nom d’humain.
"Dis-moi Freir, ton nom ce n’est pas humain ??"
Un sourire apparut sur son visage.
"Oui c’est vrai mais je n’ai pas envi de t’expliquer."
Bizarre, Pourquoi ne veut-il rien me dire à propos de son nom, serait-ce un poids lourd dans sa vie ?
Je sentais que cela lui faisait du chagrin le fait que je lui avais demandé l’origine de son nom. Tout à coup un énorme rugissement sortit d’un buisson qui n’était pas très loin de nous. Je regardai Freïr.
"C’était qui ça ?"
"Un troll, cours!"
Je me mis à courir, ce fut comme un réflexe. Freïr était devant moi la charrette derrière lui. Puis, après deux cents mètres de course, on commença à ralentir pour enfin s’arrêter et reprendre notre souffle, on était tout les deux épuisé d’avoir courus.
"Ca arrive souvent d’entendre un troll dans la forêt ??"
"Mon dernier apprentis c’est fait tuer par un troll."
(Ah oui, c’est tout de suite plus rassurant !)
Puis nous reprîmes notre marche vers la Cyalrynn on voyait la fin du bois, bientôt nous serons dans les champs. Au même moment un autre bruit inquiétant se fit entendre la caisse avait été fracassée par un énorme rochet, et une voix sortant du bois se fit entendre.
"Rah, vous les avez loupé bande de crétins !"
Au-dessus de nous il y avait deux hommes, ils descendirent de leur arbre et se mirent à coté de l’homme qui avait parlé qui était maintenant face à nous sur la route et on put voir la face de l’homme qui nous avait parlé, c’était un elfe noir assez vieux mais toujours en forme. Il avait de nombreuses cicatrices sur le visage et un étrange collier ornait son coup. L’homme qui semblait être le chef se présenta.
"Je me présente, je suis un Freir chef des bandits de cette forêt."
Je fus surpris par le nom du chef c’était un peu ironique, mais pour mon compagnon ça ne lui fit pas cet effet. A l’entente de son nom il s’était jeté sur le chef. Qui le repoussa d’un coup derrière des buissons, le mauvais Freir alla rejoindre le bon Freir et à ce moment là je n’entendis plus rien à par des grognements et des coups d’épée. Les deux hommes qui restaient firent savoir leur présence.
"Vu que notre chef n’est pas là on va s’occuper de toi. "
Oula que faire?? Ils étaient deux moi seul et sans arme. Je reculai jusqu’à être derrière la charrette, mais virent par surprise que la caisse contenait des armes, je pris de mes mains deux lames et les brandis face à mes assaillants.
Ils se jetèrent tout les deux sur moi, je les retins avec mes épées et les renvoyai en arrière. Je pus m’apercevoir que ces deux hommes n’étaient pas des grands combattants et surtout qu’ils ne devaient pas souvent se battre à deux sur un homme à chaque attaque qu’ils portaient, ils se donnaient des coups d’épaules. Je leur fonçai dessus mes deux armes en arrière, ils s’écartèrent au dernier moment puis une foi au milieu de, je fis un demi-tour sur moi-même pour tenter d’éventrer les affreux personnages mais en vain, je me relevai de toute ma taille qui les regardai de bas et m’acharnai d’abord sur l’homme de droite, il n’eut pas le temps de comprendre ce qu’il se passait, il ne pouvait que reculer, il n’arrivait pas à ce défendre, je le feintais avec le bout de mes armes je lui touchais le bas de la jambe avec ma lame droite et le bras avec la lame gauche. Il ne savait que faire, je jouais avec sa peur, il suait, il se savait perdu. Puis, pour abréger ses souffrances je lui plantai mon arme dans son ventre et je le vis tomber devant moi. Je me retournais et fixais le regard apeuré de son compagnon.
"BOUH !!"
Il fuya le plus vite possible.
Quelque chose me choqua, je n’entendais plus de bruit. Je me fis un demi-tour et fonçai à travers le buisson. Mon ami Freir était allongé au sol le ventre transpercé, je lâchai mes armes sur le sol et sentis le pouls de l’homme, il battait encore. Je le mis contre un arbre et alla chercher quelques plantes pour lui préparer une mixture que m’avait apprise l’alchimiste de mon village. Je revins vite avec les plantes qui n’étaient pas rares dans les forets et sortis mon équipement d’alchimiste que m’avait offert mon père. Je mis des feuilles et des racines dans un bol et sortis mon pilon pour broyer les ingrédients. Une fois qu’ils furent en miette je bus un peu d’eau et crachai tout dans le bol et remuai un peu la mixture qui devint légèrement bleuté, je m’approchai de mon compagnon qui était sur le seuil de la mort. Je lui mis tout dans la bouche et le forçai à boire. La potion que je lui faisais boire avait des effets médicinaux pour les blessures corporelles. Puis, fatigué je me dirigeais vers un arbre et mis adossai pour y passer la nuit.

Tu pourras traverser la forêt dès que tu le souhaiteras! En prime tu gagnes 2 XP, pour le combat, et parce que tu as bien soigné ton compagnon ^^

Entre les Vieille Arbre de la foret,tout pres de la montagne (celle a l'est pres de la mer,faudrait trouver un nom) s'avancait 3 hommes...

-Hey,dit l'un d'eux. T'est sur que c'est par ici?

-C'est ce que la fille ma dit en tout cas,repondit un autre

-si elle nous a menti elle va voir..........on la lachera en pature a booba

- J'espere qu'elle se trompe alors,dit la 3ieme silhouete qui est sans doute le dénommé Booba

- moi non! si on arrive pas a terminer ce travaille on aura pas not'or! et si pas d'or pas de bouffe!

- haa ne me parle pas de nourriture! j'ai faim moi!

- c'est vrai que ca fait longtemps qu'on a pas manger....

- tuons ce loup qui derange tant les villageois du coin et on aura de quoi manger pour une semaine...

- on pourrat bouffer le loup aussi?

- ...

- ...

-Quoi!!?

-rien....avancons

une fine ombre traversa les buisson en silence,un corps blanc disparraissant et apparaissant par endroit.

Criicck

-vous avez pas entendue quelque chose?,dit un des hommes en s'arrettant

-Hein!!?nan..

- ta peur ou quoi? mhaaahahahahahaa!

- rhaa tais toi!

la masse blanche vollat dans les aire ouvrant sa gueul en fauchant au passage le retardataire.

- ARGHHHHHHH...A L'Ai.....Grraaaaaaaaa

la masse blanche retomba dans un buisson emmenant avec lui sa victime.

-Hein? mais que...

- Ou est t'il passé?

- Regarde...il y a du sang par terre....

-Cette endroit me fout les boules fichons le quand d'ici!

- Pour une fois je suis bien d'accord avec toi!

Les Deux hommes Traverserent la foret a toutes allure,ils etait presque arrivé,quand.....la masse blanche s'avanca sur le chemin devant eux et faucha le premier des 2 hommes,booba,lui arrachant la tete en retombant devant l'autre homme...

-Noonnn! s'il vous plait a l'aide!!!!au secours!!!

L'homme tomba a terre en pleurant en tremblant comme une fillette..

la masse blanche decouverte a la lumiere se trouvat etre un loup...poil blanc,meche de poil rouge,machoire démesurée,.....
la bete calmement s'en allat avec le cadavre de sa victime.....et laissant le derniere homme fuire en direction du village..


-Ca prouvera au villageois que si ils veulent me tuer il faudra plus que 3 petit mercennaires affamé! hahaha! ces humains sont si...pitoyables!

la nuit commenca doucement a tomber sur la foret..


- Faudrait mieux que je ramane mon diner avant qu'on me le bouffe moi!

la masse blanche s'avanca vers la montagne de l'est..

[Les Montagnes de l'est]

[la forêt à la recherche du vieux]

J’arrivais enfin dans la forêt perdue, mais ça ne m’avançait à rien, je ne savais pas ou je devais attendre le vieillard. De plus il semblait y avoir beaucoup d’activité dans la forêt. Peut être y avait il d’autre aventurier comme moi. Ca pourrait être intéressant, ils serviraient de chaire à canon pour les combats trop dangereux.
J’allais un peu partout, je passais de clairière en clairière, à la recherche d’une momie.

Je continuais de marcher jsuqu'au point le plus haut de la colline.

(De là je verrais bien.)

Puis je m'accroupis et fixai l'homme non loin de là.

Yliana se sentit submergée par une puissance extraordinaire issue de sa volonté, et se retrouva bientôt dans une forêt remplie d' être étranges et à l' apparence cruelle... Ses ailes, fatiguées par un voyage extrêmement rapide, bien que court, refusaient d' aller plus loin.
De plus en plus énervée par les évènements, elle marmonna :

"La fée ninja de l' espace est de retour... et elle n' est pas contente !"

Elle s' assit ensuite sur une branche au faîte d' un arbre et étudia les personnes présentes.

(Avec cette bande de dégénérés, on va se marrer tiens... Et où il est le vieux schnock ?)

Yliana étendit ses ailes et, à l' aide d' une jeune branche de taille réduites, s' exerça à se masser le dos...

Sur tous ceux que l'homme avait vu, beaucoup d'appelés étaient venus, malgré leurs obligations personnelles.

Le vieillard apparu parmis eux, près du rocher où se tenait Kentry, car c'était l'endroit le plus exposé, puis, d'un geste du bras, il fit se creuser un passage là où n'y avait que ronces et fougères, puis disparu aussitôt, en prononçant quelques derniers mots:

"Au bout du chemin, le temple des damnés sera."


[Il vous faudra poster ici, puis directement dans le topic qui va se créer]

Yliana se massait toujours le dos lorsque, à seulement quelques pas de son arbre, apparut le vieux. Celui-là même qui, sans explication aucune, l' avait dérangée dans son sommeil. Immédiatement, la petite fée bondit et, sans prendre garde à ses ailes douloureuses, s' élança dans les airs...
Malheureusement ses forces l' avaient abandonnées, et elle s' écrasa superbement sur un énorme champignon qui, par bonheur, amortit sa chute. Voilà qui n' allait pas améliorer l' humeur de la petite fée...
Lorsqu' elle releva les yeux vers le vieillard, il avait disparu.
Elle gromela donc :

"Fichu vieux... si j' te retrouve..."

Sa curiosité encore attisée, elle prit la direction indiquée...

"Purée mais c'est quoi tout ce bruit !"

En me retournant vivement, j'aperçus un quart d'instant le vieux de tout à l'heure. Le temps de me relever, il avait disparu ainsi que le vampire.
Puis un chemin qui n'était pas là avant attira mon attention.

"Là ? ...."

Je me retournai et regarda l'homme (je pense) que j'avait aperçu.

"Tant pis."

En quelques pas, je fus sur le chemin.

"Et je vais atterrir ou encore ? "

J’entendis des bruits et la voie d’une fée qui avait parlait d’un vieux qui semblaient venir de derrière des buissons qui n’étaient pas très loin de moi. Je mi dirigea vers l’endroit d’où provenait le bruit, et je fus surpris de voir ce qu’il y a avait…Un groupe d’aventurier qui ne semblait guère puissant, ils se dirigeaient tous vers un passage dans les bois…
Ils ne semblaient pas se connaître, c’est pour ça que je pris le même petit chemin qu’eux.

Alors que j’avançais entre les branchages qui me ralentissaient, je voyais mes compagnons prendre de l’avance, de plus en plus d’avance puis après quelques instants je ne les voyais plus, il avait disparut. J’étais seul, seul au milieu de ces branchages, mon esprit était troublé, j’étais désemparé. Que faire?
Dans ma solitude la forêt devint hostile, chaque bruits étaient plus effrayant que le dernier. Le soleil commençait à disparaître dans l’horizon et la lune à s’élever dans le ciel. La nuit était là et elle annonçait la venu des créatures nocturnes, les hiboux commençaient leur chant peu rassurant, et les buissons frémissaient aux sons des animaux passant dedans. Je ne pouvais allumer de torche au risque d’attirer des êtres peu sympathique. Cette forêt allait être une étape de ma vie, on m’avait dit que de nombreux gobelins s’occupaient des voyageurs lors de leur sommeil. Je n’avais pas très envie de voir ce qu’il se passait.
Je pris alors la décision de continuer à marcher, en espérant pouvoir trouver un coin tranquille ou passer la nuit, je savais qu’il y avait plusieurs cabanes de chasseurs mais il fallait déjà en trouver une.
A présent je marchais sur un petit chemin caillouteux, d’un coté une pente dans laquelle il ne valait mieux ne pas tomber au risque de se briser les os avec les arbres, les branches et de nombreux autres fruits de la nature qui peuvent rapidement être votre ennemi puis de l’autre coté y avait ne monté, en voyant cette monté on pouvait comprendre que le chemin avec été tracé sur une pente, je devais en ce moment être en trin de contourner une petite montagne.
Le chemin était très étroit à plusieurs reprise je dus m’agripper à des racines d’un arbre pour éviter de me retrouver fracasser entre les sapins et les fougères...
La nuit commençait à être à son zénith mais la fatigue n’était pas encore présente j’étais même relativement en forme, j’avais une forte envie d’air frai et j’étais comblé.
Alors que je continuais ma marche vers la fin de ce bois, un craquement de brindille peu ordinaire me fit sursauter, l’habitude au silence du bois m’avait fait perdre ma garde. J’étais désemparé face à se bruit, serait ce un gobelin, ou des gobelins ?
Je sortis l’épée de mon fourreau et m’armai de mon bouclier, je regardai vers le sommet de cette montagne et essayai de trouver d’où venais ce son fort inquiétant. Je ne voyais pas très bien de nombreux détails m’échappaient. Je ne voyais que des troncs, des feuilles, des troncs, des feuilles et tout ça à perte de vue. Peut être m’étais je trompé ? Je l’espère.
Puis là au moment je m’apprêtais à ranger mon arme dans le fourreau une créature de petite taille mais suffisamment musclée pour me faire basculer dans la pente dans laquelle j’essayais de ne pas tomber depuis le début.
Au début nos deux corps volaient dans les airs, puis le choc je sentis ma main craquer. A peine j’eus voulu la regarder, que moi et ce qui devait être un gobelin commencions déjà à rouler dans les feuilles et les éviter le plus d’arbre possible.
Après une bonne minute de descente nos deux corps se retrouvèrent étalé sur le sol. J’avais mal, très mal, mal partout mais bizarrement je ne sentais plus ma main. Je tentai de la lever pour la mettre sous mes yeux et là je fus effrayer. Ma main…ma main était en sang, elle saignait de partout, elle était rouge entièrement rouge. Je n’arrivais plus à la bouger. Et là ma rage commença à monter en moi, je n’étais plus du tout essouffler, je n’avais qu’une seul envie celle de tuer cette être impur. Lui aussi était debout, il me fixait comme si il voulait me lancer un défi. Il sortis son couteau de sa ceinture et se mis en position d’attaque. Mes armes n’étaient plus sur moi. Je fis le tour vite fait du décor et pus apercevoir mon épée et mon bouclier. Je ne pris que ma lame.
Une foie armé je me dirigeais lentement vers la créature de petite taille, il faisait à peine un mètre vingt, mais j’avais senti sa force et son agilité.
Le gobelin me voyant prêt, il se rua vers moi, et tenta de m’éventrer. Mais grâce à ma grand taille par rapport à lui, je pus lui mettre un bon coup de pied dans la figure, il se fit envoyer à quatre mètres plus loin. Il se releva énervé et hurla pour m’effrayer, mais rien ne me toucha. Il se remit à courir vers moi et quand il fut suffisamment proche de moi il sauta en l’air et tenta de me toucher la tête mais en vint je frappai sa tête avec le plat de mon épée il fut assommé et recula de quelques pas.
Depuis le début je ne bougeais pas j’étais comme dans un état second, je rigolais intérieurement face à cette créature qui tentait de m’écraser.
Après quelque instant de silence, je serrais m’on épée dans ma main et me dirigeai vers la créature au début doucement puis à la fin je me mis à courir, elle fit de même.
Je venais d’entré dans un corps à corps avec le gobelin, celui qui perdait mourrait, pas de match nul, pas de pitié, c’étais soit moi, soit lui, et je n’avais aucune envie de lui laisser ma place, je voulais vivre j’avais tant de chose à découvrir.
Le gobelin avait beau avoir une épée de petite taille, il savait bien s’en servir et justement ça m’étonnait. Le combat se faisait parade sur parade, esquive sur esquive. Aucun de nous deux ne se laissait toucher. Un détail me surpris le fait que j’avais une main en moins ne me dérangea pas. De plus mon résidu de main volait au grés des coups et de mon corps.
Le combat passa à la vitesse supérieur, les coups était de plus en plus rapide et on sentait la fatigue monter en nous. Je commençais à m’essouffler et lui aussi d’ailleurs.
Je m’impliquais vraiment dans le combat, mon corps entier faisait le combat je me défendais avec tout mon corps je donnais des coups de coude, j’empêchais le gobelin de venir trop prêt de moi lorsqu’il sautait sur mon visage, ce qu’il faisait souvent, mais plus il faisait et plus il se fatiguait. Notre combat devint lassant, jusqu’au moment où il sauta, là mon pied s’envola dans les airs pour toucher sa tête et l’envoyer valser sur le tronc d’un arbre. Le choc fut rude, je le regardais allongé sur le sol, il ne se relevait pas, il y avait du sang sur le mur. Etait il enfin mort ?
Je m’approchais vers lui mon épée prête à le découper en rondelle s’il s'avérerait que c’est une ruse. Mais non il était bien mort son crane c’était fracassé et la tête était trop incliné pour qu’il soit en vie.
Voilà c’était la fin. J’étais fatigué, j’allais reprendre mes affaires et m’endormir pour quelque heures sous un arbre. Demain je reprendrais ma route.

Après ce long combat, tu allas reprendre tes affaires en pensant au passage à faire les poches de ton défunt adversaire. Ce que tu trouvas te laissa encore plus perplexe, car il avait sur lui une bourse bien rempli. Tu décompte 400pa, ce qui est étonnant pour un gobelin. Cherchant à prendre son épée, tu l'as retrouve brisée, mais touche par hazard une bosse au niveau de son mollet. Tu retires alors un petit poignard ((F+2)), qui se porte avec sa ceinture en bas de jambe.

Tu gagnes aussi 2 XP pour ce rp très bien ficelé.

Mes yeux s’ouvrire avec une certaines difficultés. Puis vint le moment ou je dus me mettre debout. Avec un réflexe mes mains se dirigèrent vers mes yeux pour les frotter. Ses yeux qui me permettaient de voir se dirigèrent d’abord vers l’air de combat, des images m’apparaissaient dans la tête je me rappelais le gobelin, la chute, puis autre chose, je mis main devant moi pour bien la voir et une impression de dégoût m’apparût. Elle était hideuse, répugnante, je ne pouvais plus bouger mes doigts, elle ne faisait plus parti de mon corps. Puis par pitié ou plutôt par honte je sortis un gant de mon sac et j’y glissais mon résidu de main à l’intérieur.
Il était temps pour moi de reprendre la route, il fallait que je retourne en ville. Je pris mes affaires, mis d’abords mon sac sur le dos sur lequel il y avait d’accroché le bouclier, ainsi il ne m’encombrait pas et ce serait simple de le prendre si un je devais me battre, même si je ne savais pas comment je ferais pour le prendre avec ma main invalide. Ensuite je mis ma nouvelle acquisition à mon mollet, puis me baissais pour prendre mon épée au sol et la mettre dans le fourreau.
Voilà enfin prêt, le sac sur le dos je pris un petit chemin qui devait me mener vers la ville qui ne devait pas être bien loin, si j’en croyais la pancarte inscrite juste à coté.

[La ville peut être]

[portes de la ville]

Muriel s'avance dans la forêt.

Enfin le calme et la tranquillité...Hummm...

Les odeurs de la forêt s'engouffrent dans les narines du vampire. Il continue d'avancer, faisant bien attention a suivre le chemin, bien qu'a maintes reprises, il eut envie de s'écarter un peu, pour explorer des endroits attirants.

Non...Allez...Restons comme les gens dits normaux...

Muriel continue son chemin, tout en confiance.