Les portes de la ville

Grandes et complètement inutiles, elles doivent leur survie à la population, qui aime son architecture et son histoire.
Vous devrez obligatoirement passer par ces portes pour entrer et sortir de la ville.

Black Melancholia entra dans la citée, passant par cette porte qu'elle avait vue dans un meilleur état. Elle frissonna en se remémorant son passé, et la première fois qu'elle était venue ici, mais cette douleur qui lui compressait le coeur s'estompa aussitôt.

( Nous à nouveau réuni... Fyianzine... Ville de tous mes maux, mais aussi de toutes mes joies...)

L'ange replaça sa cape comme il faut, afin de cacher au mieux ses ailes. Après un dernier regard vers la porte, elle s'avança dans les ruelles.


[ruelles]

Melisse est face aux portes


"bon voila, je suis arrivée. Ce que c'est impressionant ces villes. Courage ma petite, allez si tu veux boire quelque chose et trouver des trucs qui brillent faut y aller!

Melisse entre en souriant ,afin de ne pas eveiller la mefiance des gardes

scusezmoi messieurs, auriez vous l'obligeante gentillesse de m'indiquer l'auberge siouplez? Au fond de la ruelle, merci bien

Melisse s'engage dans les ruelles tortueuses

Fyianzine attention à ton or......

Yliana venait de loin, il était indéniable qu' elle avait beaucoup voyagé, et assez rapidement. Ses ailes étaient fatiguées d' avoir trop volé, et sa tête tournait d' avoir trop été exposée aux rayons certes bénéfiques, mais néanmoins agressifs, de l' astre lumineux.
Elle voletait lentement, rendue plutôt gaie par l' apparition ô combien soulageante, des portes de la ville de Fyianzine. Elle ne savait pourquoi, mais ce nom lui rappelait vaguement quelque chose, une histoire de barbare, et de détergeant ... Oubliant les vieilles histoires, elle s' approcha en souriant de l' entrée de la cité et elle fut bientôt à quelques mètres de celle-ci. C' est bien connu, les fées n' utilisent pas les portes, à moins de grande nécessité. Dans un édifice fermé, elles préfèrent les fenêtres et là, à découvert Yliana préférait passer par dessus les murs. Aller quelque part en passant par la porte manque fortement d' interêt ... et la petite fée aimait s' amusait, d' ailleurs, elle riait pour un rien, citons par exemple une feuille tombant d' un arbre, une farce enfantine ... tout ceci la réjouissait.
C' est don ainsi qu' elle entra dans la ville, chantant presque de bonheur, d' avoir enfin achevé son périple.

J'arrivai enfin devant la porte de Fiyanzine, on m'avait dit quelle était grande et belle mes bon ce n'était pas le cas à mes yeux, un homme banal avait à peine la place de passer. En traversant la porte j’eus l’impression horrible que m’a vie allait prendre fin dans cette ville.
La populace n’était pas très conviviale, elle vous regardait d’un mauvais œil sans savoir si elle fixait votre bourse ou votre vie, la ville n’était pas très seine et je me demandais encore pourquoi j’avais quitté la belle foret où aucun humain n’osait entrer car nous lutins être clairement supérieur aux hommes nous leur faisions peur avec de banal histoire de fantômes.
Mais bon, mes seuls buts qui m’ont poussé à rejoindre les hommes était la fortune et le pouvoir et aussi si possible l’anéantissement de la race humain, ce serait l’extase pur que ce souhait se réalise, par contre pour l’instant il me faudrait d’abord trouver un endroit ou m’installer.

Une porte.
Grande.
Laide, accessoirement.
Utile, sans doute.

Abaissant mes yeux sur mon corps abimé, je pénetrai dans Fyianzine.

Une femme, affable.
Elle m'accueille.
Me souhaite bienvenue.
Sa présence me gêne.

Fuire...

Maintenant elle était en face de moi deux chois se proposait à moi partir explorer ou rester dans cette ville tout en assaillant de vivre ma vie tranquillement. Un choix a ignoré vu que l'exploration n'est pas donné à tous je dois saisir cette opportunité rejoindre la nature.
Je de vais d'abord traverser la foret pour ensuite rejoindre les montagnes et ainsi me parfaire dans l'alchimie.
Je me dirigeais à présent vers le bois tout en laissant la ville rétrécir derrière mais pas.

Alucard, durant son long périple a travers le royaume a la recherche du savoir et de la connaissance a rencontré sur sa route plusieur obstacles naturel tel que la pluie, le vent et le froid. C'est donc hérinté qu'il arrive en vu des portes de la ville, grandes ouvertes et non gardé. Il s'arrete un peu au pied du mur de l'enceinte fortifié de la ville pour reprendre son soufle et rajusté son long chapeau rouge sur sa tête. Levant les yeux vers le ciel.

"Quel chaleure ..."

Il regarde dans sa gourde, vide depuis quelques jours deja, éspérant qu'elle se soit rempli d'elle même. Biensur ce n'est pas le cas !

Il se relève difficilement et se décide enfin a passé la porte completement inutile apparement de cette ville qui lui apportera un peu de repos ...

((C'est trop bon de reposté en médieval fantastique put1 ! ^^))

Tsuki no Tenshi passa la porte de la ville en silence, tremblante. C'était bien la première fois depuis le debut de son apprentissage qu'elle voyait autant de monde. Et ... elle en avait peur.

Il faut dire que les alchimistes ne sont pas particulièrement apprécié. Déjà chez elle, elle avait du faire face à l'intolérance de ...

"Non" pensa-t-elle "il ne faut pas que je me déconcentre maintenant, l'on m'a bien mise en garde des voleur".

Elle se retourna cependant quelques secondes vers cette porte. Cette porte qui une fois franchis l'avais conduite vers l'autre moitié de sa vie, comme un passage décisif. Maintenant elle allait devoir devenir forte pour espérer survivre....

[ruelles]

J’arrivais enfin devant la ville là où ma vie allait débuter. Ah quel bonheur, ici j’avais mes chances de devenir un alchimiste renommé, mais je savais que la route allait être dure. Par contre ça allait être dur de s’habituer à la ville, à la pollution sonore, et aussi au manque de verdure. Mais c’était un avenir que j’avais choisi pour devenir puissant.
Je passais la porte pour enfin entrer dans la ville.

Les portes se rapprochaient de plus en plus vite de nous, l’homme passa la porte à toute allure et moi de même. Il s’arrêta brusquement.
"Au fait je m’appelle Freïr"
Son nom me fit un choque, c’est bizarre, un tel nom pour un humain c’est elfe normalement, étrange.
Puis ça voix se fit réentendre.
"Mince mes employés ne sont pas là ils doivent nous attendre à l’entré du bois."
Et nous repartions au pas de course.

J'arrive devant la porte. En fait, j'étais assez tendue..C'étais la première fois depuis que j'avais trahis les miens que je rencontrai des "hommes".
J'eu vite fait de faire comprendre aux gardes que je ne voulais pas d'ennuis. Puis furtivement, sans me faire remarquer je me rendis dans la première auberges sur mon passage. Cela fait déja quelques semaines que je n'avais rien manger de decent ![ruelle]

Deman a écrit:

Deman marchant a travers les rues , arriva devant les portes . Il croisa la route de quelques elfes noirs et nains qui entraient en ville alors que lui sortait . Certaines des elfes noires auraient fait celui lui des victimes de choix . Mais il n'avait pas le temps de penser a faire de nouveaux disciples des ténèbres . Il avait des choses a faire . Découvrir les plus grands secrets de la nécromancie afin de devenir le plus puissant de ceux ci . Sortant de la ville le Katar en main , il allait commencer son voyage vers la puissance de la mort ...

Une silhouette apparait alors au vampire.

"Toi! Tu fais parti des nouveaux élus... Le destin t'as chargé d'une quête, qui sera vitale pour l'Histoire à venir. Si tu acceptes, va au plus profond de la forêt perdu."

"Je ne suis pas en verre. J'ai fait des chemins très long. J'arriverais à vous suivre. On y va ?"

( .... le voyage va être marrant...)

"Au fait, vous voulez passer par où ??"